Marie-Christine Lafrenière
Montréal |
Étudiante au doctorat
Université de Montréal
Implication au sein du réseau: Membre
Secteur principal: Eau
Secteur(s) Secondaire(s): Écotoxicologie, Transition écologique, Communication, Écoféminisme, Biologie
Service(s): Conférences, Formations
Bio:
Je termine actuellement mon doctorat en biologie à l’Université de Montréal. Mes domaines d’études sont l’écotoxicologie, l’écologie des eaux douces et la biogéochimie. Mon doctorat vise à comprendre les sources et le devenir des métaux de terres rares, des métaux présents naturellement en sols canadiens et utilisés dans la conception des technologies vertes ou numériques, dans l’eau, les sédiments et les organismes du fleuve Saint-Laurent. Originaire de la rive nord du Lac Saint-Pierre et véritable passionnée du paysage fluvial québécois, j'ai passé plusieurs été à naviguer sur le fleuve et ses tributaires pour récolter ses échantillons et développer une compréhension intégrée du système.
Je suis aussi intéressée à la communication scientifique, j'ai notamment offert quelques conférences destinées à un public académique et quelques-unes à un plus large public (Femmes et sciences, Parcours d’une biologiste, Démystifions le Saint-Laurent, Le Paradoxe de la transition énergétique). J'ai animé des ateliers thématiques sur le domaine de l’eau dans les cégeps au sein d’un regroupement de l’Université, et à un grand public dans le cadre du Festival Eurêka!. On peut lire des textes que j'ai co-écris sur l’actualité et l’environnement aux côtés d’étudiant·es en Droit, dans le journal Le Pigeon Dissident de l'Université de Montréal. De plus, je me considère comme une biologiste-artiste et je développe ma vision artistique conjointement avec mes intérêts scientifiques dans mes peintures, contrats de graphisme, infographies, ou bande dessinée.
Aujourd’hui, je tiens le micro aux côtés de ma collègue Stéphanie dans l’animation du Podcast Les Lucioles sur la recherche étudiante en biologie. Lorsque je ne rédige pas ma thèse ou que je ne travaille pas au développement du podcast, je me retrouve en plein air ou en pleine lecture d’un roman féministe.