Cathy Vaillancourt
Montréal | Montréal
Professeure
INRS
Implication au sein du réseau: Membre
Secteur principal: Sciences biomédicales
Secteur(s) Secondaire(s): Grossesse, Reproduction, Santé des enfants, Santé mentale, Changements climatiques, Santé environnementale
Service(s): Conférences, Formations, Recherche
Bio:
Cathy Vaillancourtdétient un B.Sc. en biochimie (1990) de l'Université de Sherbrooke, et des diplômes de M.Sc. (1993) et Ph.D. (1997) en sciences biomédicales, option obstétrique et gynécologie (1993) de l'Université de Montréal. Elle a effectué un premier stage postdoctoral (1997-2000) dans le laboratoire de Dr Patricia Boksa au Centre de recherche de l’Hôpital Douglas de l’Université McGillet un deuxième (2000-2001) dans le laboratoire du Pr Philip Strange à l’Université de Reading en Angleterre Elle était alors boursière du FRSQ et des IRSC. Elle devient, en 2001, professeure de chimie et biochimie à l’Université de Moncton et depuis 2005 elle est professeure à l’INRS–Centre Armand-Frappier Santé Biotechnologie. Madame Vaillancourt est également directrice du Réseau intersectoriel de recherche en santé de l’Université du Québec et du Centre de recherche interdisciplinaire sur le bien-être, la santé, la société et l'environnement (Cinbiose. Elle fait partie du Réseau québécois en reproduction (RQR), du Centre interdisciplinaire de recherche en opérationalisation du développement durable (CIRODD), du Réseau Inondation Intersectoriel du Québec (RIISQ) et de l’International Federation of Placenta Associations (IFPA). Elle est également cofondatrice du Groupe International de la francophonie Placentaire (GfP). Ses recherches couvrent plusieurs pays dont le Canada, les États-Unis, l’Australie, la France et la Suisse. Les travaux de recherche de son équipe visent à comprendre l’implication des facteurs environnementaux (stress prénatal, dépression, anxiété, polluants, changement climatique) sur le fonctionnement du placenta humain, et par conséquent sur le développement et la programmation du fœtus. Son équipe vise également à mieux cerner les différences de sexe et de genre dans les relations entre l’environnement périnatal, les fonctions placentaires et le développement de l’enfant. Le but ultime de ses travaux est d’améliorer la santé des femmes enceintes et les chances de meilleure santé de leurs enfants.